





Littérature et culture cynégétique
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Une journée de chasse
Au milieu de la traque
Texte de Heiko Hornung
Photographies de Michael Stadfeld
Ce beau-livre de photos vous offre une immersion totale dans une chasse au grand gibier.
De l’arrivée au petit matin jusqu’à la fin de la journée de chasse, revivez tous les instants qui font le bonheur d’une journée de chasse réussie : le rassemblement, le « rond », le pied, la répartition des postes, la préparation du chasseur et des chiens pour la battue, mais aussi le déroulement de la journée, les animaux vus, ceux qui sont tirés, les blessés, la recherche au sang par les chiens de rouge, et puis, pour terminer, le tableau et les honneurs.
C’est toute l’ambiance d’une journée de chasse que l’on retrouve dans ce livre avec de très belles photographies d’instantanés de chasse : le cerf au saut de l’allée, le sanglier débusqué, les chiens derrière leur proie.
Un livre à offrir à tous ceux qui suivent ou participent à des chasses, mais également à ceux qui veulent découvrir l’organisation, le déroulement et l’éthique de la chasse, le travail des chiens.
Heiko Hornung, né en 1968, a grandi dans une famille de chasseurs. Journaliste spécialiste en cynégétique, il est devenu rédacteur en chef du plus célèbre et du plus ancien magazine de chasse allemand : Wild und Hund. Il a également créé un magnifique chenil de chiens de chasse.
Michael Stadtfeld, photographe, est né en 1989. Il a grandi avec la chasse. Depuis de nombreuses années, il se consacre de manière professionnelle à l’animal sauvage et à la photographie de chasse. Il publie de nombreux reportages dans des magazines spécialisés de chasse et de faune.
Astuces et bricolage
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Les différents modes de chasse
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Les espèces protégées
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Un des devoirs du chasseur est d'identifier parfaitement son futur prélèvement.
De nos jours, la confusion avec une espèce protégée ne devrait plus se faire, avoir un doute sur une espèce, c'est s'abstenir de prélever.
Les espèces chassables
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Sur les 89 espèces chassables en France, 38 sont des espèces appartenant au gibier d'eau.
La sécurité
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Les appelants
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Un appelant, c'est quoi ?
Bien souvent, on parle d'appelant et d'appeaux pour la chasse avec suivant l'interlocuteur une perception différente. Il est donc utile de clarifier la chose pour tous les chasseurs qui peuvent se méprendre ou qui se posent la question sur la partie législative des appelants.
En clair, l’appelant est un oiseau qu'on tient dans une volière, et dont les cris doivent attirer les autres oiseaux de la même espèce ou autre.
Télécharger le Manuel d'information de ONCFS
Sont autorisé comme appelants les oiseaux nés et élevés en captivité, des espèces d’oies, de canards de surface et de canards plongeurs, la foulque macroule et leurs hybrides dont la chasse est autorisée:
Noms communs | Noms scientifiques |
---|---|
Canard colvert |
Anas platyrhynchos |
Canard chipeau |
Anas strpera |
Canard pilet |
Anas acuta |
Canard siffleur |
Anas penelope |
Canard souchet |
Anas clypeata |
Sarcelle d’hiver |
Anascrecca |
Sarcelle d’été |
Anas querquedul |
Fuligule milouin |
Aythya ferina |
Fuligule morillon |
Aythya guligula |
Fuligule milouinan |
Aythyamaril |
Oie cendrée |
Anser anser |
Oie rieuse |
Anser albifrons |
Oie des moissons |
Anser fabalis |
Nette rousse |
Netta rufina |
Eider à duvet |
Somateria mollissima |
Harelde de Miquelon |
Clangula hyelalis |
Garrot à œil d’or |
Bucephala clangula |
Macreuse noire |
Melanitta nigra |
Macreuse brune |
Melanitta fusca |
Foulque macroule |
Fulicra atra |
Vanneau huppé* |
Vanellus vanellus |
* Le vanneau huppé est aussi autorisé comme appelant uniquement en Ardennes, Charente-Maritime, Gers, Gironde, Landes, Lot et Garonne et Pyrénées Atlantiques.
Les hybrides issus d’espèces chassables sont autorisés comme appelants.
Les hybrides issus de croisement entre espèce chassable et espèce protégée ou exotique sont interdits
Sont interdits comme appelants les limicoles (sauf vanneaux sur certains départements), les espèces exotiques (sarcelle du Chili) et les espèces invasives (Bernache du Canada).
Pour les puristes, vous pouvez télécharger le texte de loi qui régi en France la dénomination et la classification des appelants :
Téléchargez le texte de loi
Déclaration de l'Élevage
Tout détenteur d’appelant doit s’être déclaré au moins une fois à sa Fédération Départementale du lieu principal de détention de ses appelants (nom, prénoms, adresse, lieu(x) de détention des appelants).
Le lieu principal de détention est celui où sont détenus les oiseaux hors période de chasse.
Inutile de répéter cette déclaration, sauf en cas de changement d’adresse, de lieu de détention ou d’arrêt de détention.
Au sens de l’arrêté du 29 décembre 2010, les termes « appelants » et « détenteur » sont définis comme suit :
Appelant : oiseau vivant destiné à attirer un oiseau pour la chasse du gibier d’eau.
Détenteur : toute personne physique ou morale qui est propriétaire ou qui a la responsabilité d’un ou plusieurs appelants, à titre permanent ou temporaire.
Tout détenteur d’appelant doit se déclarer auprès de la fédération départementale des chasseurs du département du lieu de détention des oiseaux, dans un délai de 30 jours suivant la détention du premier appelant.
La déclaration précise à minima :
- Le nom et les prénoms du déclarant
- L’adresse du domicile du déclarant
- Le(s) lieu(x) de détention des appelants
Toute modification du lieu de détention des appelants ou toute fin de détention définitive d’appelants doit faire l’objet d’une déclaration auprès de la fédération départementale des chasseurs, par le détenteur, dans les trente jours qui suivent la modification.
Taille de l'élevage
En période de chasse, le nombre d’appelants vivants attelés et parqués est limité à 100 oiseaux par installation, toutes espèces confondues.
Cette limitation s’applique également à la chasse au gibier d’eau lorsqu’elle est pratiquée sans installation. Les oiseaux détenus dans des parcs situés dans un rayon de moins de trente mètre autour de la nappe d’eau sont intégrés dans le décompte des appelants. Toutefois, sur les plans d’eau et territoires où de telles implantations de parcs sont matériellement impossibles, les oiseaux détenus dans des parcs couverts ne sont pas considérés comme appelants.
Attention, certaines associations limitent le nombre d’appelants vivants. Se renseigner auprès du Président de votre association.
Vous pouvez détenir un maximum de 100 ansériformes (canards, oies, cygnes) qu’ils soient appelants ou non. Au-dessus de 100 ansériformes, vous devez être titulaire du certificat de capacité et d’une autorisation d’ouverture d’élevage. La détention des espèces chassables ci-dessus est libre avec un maximum de 100 individus adultes et sous condition qu’ils soient bagués réglementairement s’ils sont destinés à être des appelants.
Si votre élevage dépasse 100 adultes ou si certaines espèces sont détenues, vous avez un autre système de gestion et de contrôle.
Le marquage des appelants pour le gibier d’eau
Tout appelant doit être identifié de façon unique et pérenne dans un délai de 20 jours suivant sa naissance, par bague fermée, conforme au modèle ministériel et portant au moins les inscriptions suivantes gravées en creux : le numéro d’ordre de l’oiseau, celui du détenteur naisseur et l’indicatif de l’organisation agréée. Les oiseaux sont marqués sur le tarsométatarse ou le tibiotarse par mise en place d’une bague en forme d’anneau fermé de section aplatie, sans aucune rupture ou joint. La conception, le matériau et la technique d’impression des caractères propres à ces bagues doivent garantir leur résistance à l’usure et assurer la permanence des inscriptions. Le diamètre, la hauteur et l’épaisseur de la bague sont fixés en fonction de l’espèce ou du groupe d’espèces d’oiseaux auxquels la bague est destinée. Après avoir été placée dans les premiers jours de la vie de l’oiseau, la bague ne doit pas pouvoir être enlevée de la patte de l’oiseau devenu adulte. L’utilisation des bagues ouvertes est restreinte à l’identification des animaux adultes ayant perdu leur bague fermée.
Attention, chez certaines espèces comme la sarcelle d’hiver ou le pilet, la croissance des pattes est très rapide et la bague doit être posée vers l’âge de 10 jours.
L’utilisation des bagues ouvertes est restreinte à l’identification des animaux adultes ayant perdu leur bague fermée.
Tableau indicatif des diamètres de bagues utilisés par espèce :
7mm |
Sarcelle d’hiver |
8 mm |
hybride sarcelle x mignon, sarcelle d’été |
9 mm |
siffleur, morillon, souchet, foulque |
10 mm |
pilet, chipeau, milouin, mignon, milouinan, garrot |
12 mm |
colvert, eider, macreuse |
16 mm |
oie rieuse |
18 mm |
oie cendrée et des moissons |
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Le registre
Tout détenteur d’appelant doit tenir un registre, contenant au moins les informations figurant à l’annexe II de l’arrêté du 29 décembre 2010.
Il est simplifié :
Sa forme est laissée libre (papier ou informatique). Vous pouvez continuer d’utiliser celui que vous aviez, en ne remplissant que les colonnes restées obligatoires. Vous pouvez en changer pour toute autre forme.
Il n’y a plus de visa du maire ou autre démarche administrative
Il doit contenir au minimum les informations suivantes :
- Identification du détenteur
- Nombre d’appelants détenus
- Évènements survenus
- Mouvements d’oiseaux entre élevages (ex : vente, achat, don…)
Exemple :
Nombre d’appelants détenus | ||
---|---|---|
Date |
Nombre d’appelants détenus sur le site (information devant être actualisée à chaque entrées ou sortie d’animaux) |
Espèces détenues Nom commun (facultatif) |
A remplir… |
A remplir… |
A remplir… |
Décés ou maladie (une ligne par animal) | |||
---|---|---|---|
Date |
Espèce nom commun (facultatif) |
Numéro individuel de l’animal |
Cause de la mort
Si maladie : préciser ensuite si mort ou guérison
Si mort suite à une maladie : précisez symptômes et, si connue, le nom de la maladie
Si guérison : reporter le N° individuel de l’animal sur les documents vétérinaires (à conserver dans le registre d’élevage)
Si analyse faites : conserver les résultats d’analyses dans le registre d’élevage |
A remplir… |
A remplir… |
A remplir… |
A remplir… |
Entrée sur site d’un animal provenant d’un autre détenteur | ||
---|---|---|
Date |
Numéro individuel de l’animal concerné et espèce : nom commun (facultatif) |
Numéro du détenteur précèdent |
A remplir… |
A remplir… |
A remplir… |
Sortie de site d’un animal à destination d’un autre détenteur | ||
---|---|---|
Date |
Numéro individuel de l’animal concerné et espèce : nom commun (facultatif) |
Numéro du détenteur suivant |
A remplir… |
A remplir… |
A remplir… |
Les informations contenues dans le registre doivent être conservées pendant une durée de cinq ans.
Vous pouvez vous procurer un registre à l’ANCGE :
Commander un registre détenteur
Si l’appelant change de propriétaire ?
Le nouveau détenteur enregistre simplement l’arrivée de cet oiseau, avec son numéro de bague et sa provenance (voir tenue du registre). Pour cette raison, lors de foire aux appelants et ou lors d'échanges, tous les appelants doivent être bagué. Sans cela, ils ne pourront jamais être utilisés pour la chasse..
Grippes aviaires
En 2005, l’Europe faisait l’expérience d’une nouvelle maladie des oiseaux : une « grippe aviaire » en provenance d’Asie, très contagieuse, très virulente pour les élevages de volailles et qui paraissait pouvoir être transportée sur des milliers de kilomètres par des oiseaux migrateurs. L’agent en cause était le virus Influenza H5N1 hautement pathogène. Le phénomène pourrait se reproduire en 2016-2017 avec le H5N8.
De nombreuses mesures de précaution sanitaire ont été prises par l’Union Européenne, en vue de protéger les élevages de volailles. Les chasseurs français ont été concernés par ces mesures qui ont tout d’abord interdit l’usage des appelants pour la chasse aux oiseaux d’eau, puis l’ont autorisé par dérogation, moyennant des obligations supplémentaires.
Aujourd’hui, si l’Influenza H5N1 continue de sévir en Asie, l’Europe paraît moins touchée et la France est depuis plusieurs mois en niveau de risque négligeable. Dans ce contexte, il est apparu possible d’assouplir les mesures de surveillance des appelants et de tenir compte des demandes de simplification émanant des chasseurs d’oiseaux d’eau et détenteurs d’appelants. Le présent registre présente la nouvelle règlementation 2011 sur les appelants.
L’écouvillonnage des appelants est supprimé tant que la France est en niveau de risque influenza négligeable ou faible. En cas de niveau de risque modéré, si certaines régions peuvent continuer d’utiliser les appelants, des écouvillonnages de surveillance pourront y être déclenchés à la demande des experts.
La surveillance passive
Les évènements sanitaires survenant dans l’élevage d’appelants doivent être enregistrés (voir tenue du registre). Si le détenteur observe dans son élevage des mortalités (hors cause évidente) ou des signes nerveux sur plus de 5 oiseaux sur une période de 7 jours, il doit le déclarer à son vétérinaire traitant et à la Fédération Départementale des Chasseurs. Les analyses qui pourront être effectuées, ainsi que les frais vétérinaires, seront alors pris en charge par l’État (via une convention avec la FNC). Vous n’aurez rien à payer : vétérinaires et laboratoires doivent adresser leur facture à la FNC.
Cette surveillance passive est essentielle en tant que sentinelle de l’Influenza aviaire sur notre territoire. Ne la négligez pas !
Les niveau de risque influenza
Niveau de risque | Critère de définition du niveau de risque | Règlement appelant |
---|---|---|
Négligeable |
Absence de cas* en France et absence de cas dans les couloirs migratoires des oiseaux sauvages arrivant et transitant en France, qu’il y ait ou non des cas dans les zones de départ. |
Transport et utilisation autorisés |
Faible |
Absence de cas* en France et présence de cas dans les couloirs migratoires des oiseaux sauvages transitant en France, ou présence de cas dans des pays non voisins de la France métropolitaine. |
Transport et utilisation autorisés |
Modéré |
Absence de cas en France et présence d’au moins un cas dans un pays voisin de la France métropolitaine. |
Transport et utilisation interdits sauf dans certaines régions définies par les experts en fonction de la situation |
Élevé |
Présence de quelques cas isolés en France ou cas groupés dans une unité écologique |
Transport et utilisation interdits |
Très élevé |
Présence de plusieurs cas isolés ou cas groupés dans deux unités écologiques ou plus. |
Transport et utilisation interdits |
Les territoires et zones humides
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Les territoires de chasse au gibier d'eau
Voici les éléments qui peuvent vous servir pour connaître les dossiers ou les évolutions des territoires de chasse.
Le domaine public maritime (DPM)
Le domaine public fluvial (DPF)
L’entretien du domaine public fluvial :
L’entretien régulier des cours d’eau est prévu par l’article L215-14 du Code de l’Environnement. Dans le cas des cours d’eau domaniaux, cet entretien est à la charge du propriétaire du domaine public fluvial, à savoir l’État.
Toutefois, les personnes qui ont rendu nécessaire ou y trouvent intérêt peuvent être appelées à contribuer au financement de leur entretien (art L2124-11 du CGPPP). Dans le département, cela concerne, par exemple, certains gros ouvrages hydro-électriques concédés dont il est prévu dans le cahier des charges de la concession de réaliser plusieurs opérations d’entretien (essartements en particulier).
L’entretien régulier a pour objet de maintenir le cours d’eau dans son profil d’équilibre, de permettre l’écoulement naturel des eaux et de contribuer à son bon état écologique ou, le cas échéant, à son bon potentiel écologique, notamment par enlèvement des embâcles, débris et atterrissements, flottants ou non, par élagage ou recépage de la végétation des rives.
La protection contre les crues :
Qu’il s’agisse de cours d’eau domaniaux ou non domaniaux, la réalisation de travaux de protection contre les inondations est à la charge des propriétaires protégés, dans la proportion de leur intérêt aux travaux, sauf les cas où l’État jugerait utile et juste d’accorder des aides sur les fonds publics (art. 33 de la loi du 16 septembre 1807).
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter le service Eau Environnement Forêt à la DDT.
Les autres domaines
- Les voies navigables de France
- Les ports autonomes
- Le domaine privé
L’évaluation des habitats et espèces d’intérêt communautaire : un exercice partenarial
Les habitats naturels ou semi-naturels correspondent à une entité écosystémique précise incluant les communautés d’espèces ainsi que leur environnement abiotique. L’évaluation de l’état de conservation ne porte que sur les habitats et les espèces dits d’intérêt communautaire.
Il s’agit d’habitats en danger ayant une aire de répartition souvent réduite et d’espèces en danger, vulnérables, rares ou endémiques sur le territoire communautaire, strictement protégés et/ou pour lesquels doivent être désignées des zones spéciales de conservation. Ainsi, les conclusions obtenues ne concernent qu’une partie de la biodiversité.
Coordonnée et animée par le Service du Patrimoine Naturel (SPN) du Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN), pour le compte du Ministère en charge de l’Écologie, et suivant une méthodologie commune à tous les États membres, cette évaluation a été menée en partenariat avec :
- la Fédération des Conservatoires botaniques nationaux (FCBN)
- l’Office pour les insectes et leur environnement (Opie)
- la Société herpétologique de France (SHF)
- la Société française pour l’étude et la protection des mammifères (SFEPM)
- l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS)
- l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema)
Plus de 400 experts ont ainsi été mobilisés pour la rédaction, la relecture et la validation des fiches d’évaluation.
Téléchargez l'évaluation
Connaitre et préserver
Voici les deux mots qui doivent faire avancer les chasseurs de gibier d’eau français.
Depuis de nombreuses années, tous les acteurs du monde de la chasse nous disent que nous avons des études ou alors que nous sommes en train de réaliser des études sur le gibier d’eau. Mais concrètement, nous constatons qu’un très grand nombre de fédérations départementales a réalisé ou est en train de réaliser des études. Mais voilà que nous constatons qu’aucune étude n’a le même protocole et ne peut donc être retranscrite sur le plan national et donc encore moins sur le plan international.
Nous œuvrons donc depuis maintenant trois ans pour essayer de créer un lien entre les divers acteurs. Cela est très compliqué pour avancer rapidement de par les intérêts qui ne sont pas les mêmes d’un département a l’autre. L’ANCGE sous l’impulsion de son président a enfin réussi à faire une étude nationale qui réunit 3 acteurs du monde de la chasse. Cette convention complètera les études qui étaient réalisées par plusieurs intervenants.